Luxe à Guachalito

Après un petit déjeuner copieux enfin pour moi… car à force d’être trop servi j’ai mangé la part de Martine mais je lui laisse mes fruits sans contrariété car j’ai des aphtes. Départ pour le surf loupé car pas de vagues adéquates ce matin mais nous retrouvons nos deux françaises installées dans l’hébergement des surfeurs juste avec un autre couple de colombiens. Donc 6 touristes en tout sur cette plage de 8km. Ça va on ne devrait pas se gêner. Séance papotage : non seulement Anélice (je l’ai déjà écrit) est amie avec un ancien élève de Martine mais le frère de Joséphine, Pierre Louis est ami de Erwan, le fils de notre amie et factrice préférée. C’est drôle. Retour au lodge pour prendre notre matériel de snorkeling et direction le bout de la plage qui forme une anse pour trouver la zone calme. Loupé aussi, la visibilité est certes meilleure mais les poissons sont absents alors ce sera une petite bière face à la mer en compagnie d’une petite piplette de cinq ans adorable. On a même joué à la poupée, Martine a eu la sirène. L’estomac sonne un retour vers notre hamac en attendant le déjeuner. Les lits ont été refaits, le sol et la salle de bain nettoyés, la moustiquaire relevée ainsi que les rideaux. Martine s’inquiète de ma compréhension du prix. Bon on verra ce soir. A table ! Fernando a pêché avec succès ce matin alors ce sera soupe de poisson et poisson pané maison, excellent. Une petite sieste hamac s’impose mais de courte durée car nos voisines sont venues nous visiter. On repart voir l’état de la mer et à cause du papotage on arrive à la fin du créneau de la session ! alors direction la cascade de l’amour qui se niche juste à côté de notre hébergement et c’est déjà l’heure de la douche avant l’apéro. Décidément le temps passe vite à contempler. Heureusement que nous repartons demain car bientôt nos traces de déplacement sur la plage vont ressembler à celles des locaux.
Ça y est l’addition est tombée, ils se sont un peu rattrapé sur le prix des repas mais vus l’endroit, le service et là qualité de la cuisine, nous avons fait l’affaire du Choco.