L’aventure turque prend fin. Entre les 5 heures d’attente à Orly et les cinq de mieux à naviguer d’un bureau Pegasus à l’autre dans l’aéroport d’Istanbul de belles rencontres se sont effectuées n’est-ce pas Sabine. Je suis toujours aussi fan des imprévus. Un petit trois heures de sommeil, une étude du plan de métro et de tramway et en avant pour une découverte de la ville. Sous un ciel blanc, plombant les couleurs du quartier de la mosquée, nous découvrirons la désertion touristique qui frappe le pays. Miguel notre commerçant philosophe et vendeur de tapis nous expose avec humour le drame de leur quotidien. Les terrasses sont vides et au cœur de ce quartier historique hormis de rare touristes égarés comme nous, seuls quelques groupes de chinois se mêlent aux passants turcs.
Visite de la mosquée bleue, trop tard pour sainte Catherine et pas envie de se mêler aux rabatteurs du grand bazar, alors, ce sera une escale gourmande dans un salon de thé. Avant de s’éclater en bouche, le sucre à l’état sauvage nous séduit par la richesse de ses présentations. Dissimulés sous différents habits de graines, de pâtes et de fruits aux couleurs appétissantes, pâtisserie et loukoums sont un véritable appel à la gourmandise.
Retour de l’autre côté du Bosphore pour rejoindre notre hôtel mais point d’apéro car l’abstinence commence déjà avec la Turquie. Départ vers l’aéroport, minuit sonne, commence alors l’embarquement vers Téhéran …à suivre. ..
Perso on suit notre diete crudites jus
Sympa le regime turc
Speciel jogging elastique
Au plaisir de t’accueillir en Bretagne Sabine ! Bonne reprise bisous