Un thé vite avalé et nous quittons notre hôtel de passes à l’heure prévue. Le jardin de Peradenya ouvre juste ses portes ; tuktuk apparaît dans l’allée centrale et se stationne gentiment sur la hauteur près d’un camarade. A peine descendons-nous qu’un premier homme vient me signaler que cet emplacement est privé et m’invite à me garer sur l’allée. Bon ! tuktuk descend et s’arrête , arrive un second homme, le premier est toujours présent à nos côtés. « Non pas ici mettez-vous là » Arrive un troisième homme « oh la un peu plus loin » et puis le deuxième « non ici c’est mieux « et puis un quatrième « mais vous avez des bagages, alors avancez là » et puis non on recule…. Bon je pense changer de lieu de stationnement car cela devient très compliqué mais au final l’équipe soutien parking va avoir gain de cause. A la suite de l’épisode stationnement c’est la série bagages qui va animer cette entrée de parc. Alors, oui il faut baisser les rideaux du tuktuk, non pas nécessaire, impossible de laisser les bagages dans le tuktuk on va vous les voler…. Au final le cinquième homme va échanger avec les policiers du jardin et nous allons entreposer l’ensemble de nos bagages dans le poste de police. Enfin on peut accéder au jardin et profiter de la dissipation de la brume matinale qui désormais laisse jaillir les couleurs de ce très bel endroit. Personnellement j’ai passé beaucoup de temps à observer la colonie de chauve-souris et à tenter de saisir en image les splendides oiseaux qui animent à merveille ce jardin. Deux heures de déambulatoire plus tard nous prenons la direction de Nuwara Eliya avec escale petit déjeuner en chemin évidemment. Là s’opère le rituel habituel, tout arrive sur la table et vous piochez ce que vous souhaitez manger, à la fin, on compte le nombre d’absents de chaque plat pour facturer. C’est pas une bonne méthode pour mon ventre cette technique !
Tuktuk courageux après avoir affronté les embouteillages de Kandy en blessant juste légèrement le rétroviseur d’une voiture, grimpe fièrement la montagne. Avec ses 40 km/heure en descente nous avons le temps d’admirer les plantations de thé, de légumes et d’observer les travailleurs. Tuktuk va même doubler camions et bus en chemin, ce qui n’est pas toujours au goût de Martine.
La ville de Nuwara Eliya apparaît avec son lac gentiment aménagé et ses jolis pédalos cygne. Bon pas d’hésitation nous ne restons pas ici. Le seul autre intérêt de l’endroit après le « pédalo » c’est un départ de randonnée que nos chevilles ne peuvent toujours pas affronter.
Alors c’est décidé nous rejoignons Puce et Anne Françoise à Ella. Et voilà c’est parti pour une première soirée francophone sur la belle terrasse de leur hébergement.
Jardin botanique de Peradenya
En chemin, Nurawa Eliya
Ella, enfin juste la terrasse des nos amis du Pouldu et de notre chambre
Ah ! ben voilà… vous les retrouvez enfin vos amis…! Vous continuez ensemble ?
Je regarde tout ça après m’être occupée de la meute ! (Re-tempête ici ! 🙁 )
J’aime ces jolies maisons colorées… Ici tout est terne ! Et puis l’adore l’embarcation aussi 🙂 Le camion aussi est original… Que des photos sympas <3